- Inventaires -
Cartographie EEE du GPMG - 1er Trimerstre 2024
Travail réalisé avec un bureau d'étude (CED) pour le compte du GPMG (Grand Port Maritime de Guadeloupe).
Les objectifs de la mission étaient :
C'est un gros travail qui a nécessité plusieurs jours de terrain et d'autant plus de jours d'analyse et de rédaction.
Le GPMG a une responsabilité particulière concernant les EEE car sa circonscription s'étend sur plusieurs îles et îlets de la Guadeloupe (Basse-Terre, Grande-Terre, îlet Cochon, îlet Coquillage, Marie-Galante).
Ci-contre, le sous bois d'une partie de l'îlet Cochon, recouvert d'une EEE (rhoéo ou sonde, Tradescantia spathacea, Commelinaceae).
Les objectifs de la mission étaient :
- de lister et de géolocaliser les EEE végétales des différents sites de la circonscription du GPMG ;
- d'estimer leur nombre et/ou leur recouvrement sur chacun des sites ;
- de prioriser les sites et les EEE à gérer ;
- de proposer des actions de lutte pour chaque site et chaque espèce.
C'est un gros travail qui a nécessité plusieurs jours de terrain et d'autant plus de jours d'analyse et de rédaction.
Le GPMG a une responsabilité particulière concernant les EEE car sa circonscription s'étend sur plusieurs îles et îlets de la Guadeloupe (Basse-Terre, Grande-Terre, îlet Cochon, îlet Coquillage, Marie-Galante).
Ci-contre, le sous bois d'une partie de l'îlet Cochon, recouvert d'une EEE (rhoéo ou sonde, Tradescantia spathacea, Commelinaceae).
Cartographie EEE du GPMG - 1er Trimerstre 2024
Travail réalisé avec un bureau d'étude (CED) pour le compte du GPMG (Grand Port Maritime de Guadeloupe).
Les objectifs de la mission étaient :
C'est un gros travail qui a nécessité plusieurs jours de terrain et d'autant plus de jours d'analyse et de rédaction.
Le GPMG a une responsabilité particulière concernant les EEE car sa circonscription s'étend sur plusieurs îles et îlets de la Guadeloupe (Basse-Terre, Grande-Terre, îlet Cochon, îlet Coquillage, Marie-Galante).
Ci-contre, le sous bois d'une partie de l'îlet Cochon, recouvert d'une EEE (rhoéo ou sonde, Tradescantia spathacea, Commelinaceae).
Les objectifs de la mission étaient :
- de lister et de géolocaliser les EEE végétales des différents sites de la circonscription du GPMG ;
- d'estimer leur nombre et/ou leur recouvrement sur chacun des sites ;
- de prioriser les sites et les EEE à gérer ;
- de proposer des actions de lutte pour chaque site et chaque espèce.
C'est un gros travail qui a nécessité plusieurs jours de terrain et d'autant plus de jours d'analyse et de rédaction.
Le GPMG a une responsabilité particulière concernant les EEE car sa circonscription s'étend sur plusieurs îles et îlets de la Guadeloupe (Basse-Terre, Grande-Terre, îlet Cochon, îlet Coquillage, Marie-Galante).
Ci-contre, le sous bois d'une partie de l'îlet Cochon, recouvert d'une EEE (rhoéo ou sonde, Tradescantia spathacea, Commelinaceae).
Essences des Vanilleraies - Juillet 2022
J'ai été sollicité par l'association APAGwa pour réaliser des inventaires dans différentes vanilleraies de la Basse-Terre. Elles se trouvaient toutes en forêt mésophile, de la côte au-vent ou sous-le-vent.
Une partie des pieds de ces cultures était numérotée. Les agroforestiers désiraient savoir sur quels arbres se développaient leurs vanilles. De plus, ils étaient curieux de savoir si des espèces "d'intérêt" (rares, patrimoniales, médicinales, ...) se trouvaient sur leurs parcelles.
Accompagné par un stagiaire de l'association, Noé (que je remercie de m'avoir guidé dans ces exploitations), j'ai donc parcouru les vanilleraies et tenter d'identifier toutes ces essences.
Ci contre, une fleur de pompona (Vanilla pompona, Orchidaceae), la plus grosse vanille du monde. Cette espèce est assez peu cultivée, la Guadeloupe est le principal producteur de cette variété aux qualités aromatiques exceptionnelles.
Une partie des pieds de ces cultures était numérotée. Les agroforestiers désiraient savoir sur quels arbres se développaient leurs vanilles. De plus, ils étaient curieux de savoir si des espèces "d'intérêt" (rares, patrimoniales, médicinales, ...) se trouvaient sur leurs parcelles.
Accompagné par un stagiaire de l'association, Noé (que je remercie de m'avoir guidé dans ces exploitations), j'ai donc parcouru les vanilleraies et tenter d'identifier toutes ces essences.
Ci contre, une fleur de pompona (Vanilla pompona, Orchidaceae), la plus grosse vanille du monde. Cette espèce est assez peu cultivée, la Guadeloupe est le principal producteur de cette variété aux qualités aromatiques exceptionnelles.
Essences des Vanilleraies - Juillet 2022
J'ai été sollicité par l'association APAGwa pour réaliser des inventaires dans différentes vanilleraies de la Basse-Terre. Elles se trouvaient toutes en forêt mésophile, de la côte au-vent ou sous-le-vent.
Une partie des pieds de ces cultures était numérotée. Les agroforestiers désiraient savoir sur quels arbres se développaient leurs vanilles. De plus, ils étaient curieux de savoir si des espèces "d'intérêt" (rares, patrimoniales, médicinales, ...) se trouvaient sur leurs parcelles.
Accompagné par un stagiaire de l'association, Noé (que je remercie de m'avoir guidé dans ces exploitations), j'ai donc parcouru les vanilleraies et tenter d'identifier toutes ces essences.
Ci contre, une fleur de pompona (Vanilla pompona, Orchidaceae), la plus grosse vanille du monde. Cette espèce est assez peu cultivée, la Guadeloupe est le principal producteur de cette variété aux qualités aromatiques exceptionnelles.
Une partie des pieds de ces cultures était numérotée. Les agroforestiers désiraient savoir sur quels arbres se développaient leurs vanilles. De plus, ils étaient curieux de savoir si des espèces "d'intérêt" (rares, patrimoniales, médicinales, ...) se trouvaient sur leurs parcelles.
Accompagné par un stagiaire de l'association, Noé (que je remercie de m'avoir guidé dans ces exploitations), j'ai donc parcouru les vanilleraies et tenter d'identifier toutes ces essences.
Ci contre, une fleur de pompona (Vanilla pompona, Orchidaceae), la plus grosse vanille du monde. Cette espèce est assez peu cultivée, la Guadeloupe est le principal producteur de cette variété aux qualités aromatiques exceptionnelles.
Projet JA-RIV - 17/01/22
J'ai travaillé pour le Conservatoire du Littoral (CDL) dans le cadre de leur projet "JA-RIV" qui consiste à restaurer des zones de la mangrove de Jarry.
Ma mission a consisté en un inventaire botanique d'une zone à restaurer. L'objectif est d'avoir un état zéro de la diversité floristique pré-restauration afin de pouvoir suivre et quantifier l'évolution des communautés végétales après la restauration.
Sans surprise la zone était majoritairement recouverte par des espèces rudérales, pionnières, dont certaines étaient des Espèces Exotiques Envahissantes (EEE). Mais par endroit il y avait tout de même quelques espèces indigènes caractéristiques de mangrove et de zones humides.
Ci-contre, la Nelitte d'Amérique ou Aeschynomene americana, (Fabaceae).
Ma mission a consisté en un inventaire botanique d'une zone à restaurer. L'objectif est d'avoir un état zéro de la diversité floristique pré-restauration afin de pouvoir suivre et quantifier l'évolution des communautés végétales après la restauration.
Sans surprise la zone était majoritairement recouverte par des espèces rudérales, pionnières, dont certaines étaient des Espèces Exotiques Envahissantes (EEE). Mais par endroit il y avait tout de même quelques espèces indigènes caractéristiques de mangrove et de zones humides.
Ci-contre, la Nelitte d'Amérique ou Aeschynomene americana, (Fabaceae).
Projet JA-RIV - 17/01/22
J'ai travaillé pour le Conservatoire du Littoral (CDL) dans le cadre de leur projet "JA-RIV" qui consiste à restaurer des zones de la mangrove de Jarry.
Ma mission a consisté en un inventaire botanique d'une zone à restaurer. L'objectif est d'avoir un état zéro de la diversité floristique pré-restauration afin de pouvoir suivre et quantifier l'évolution des communautés végétales après la restauration.
Sans surprise la zone était majoritairement recouverte par des espèces rudérales, pionnières, dont certaines étaient des Espèces Exotiques Envahissantes (EEE). Mais par endroit il y avait tout de même quelques espèces indigènes caractéristiques de mangrove et de zones humides.
Ci-contre, la Nelitte d'Amérique ou Aeschynomene americana, (Fabaceae).
Ma mission a consisté en un inventaire botanique d'une zone à restaurer. L'objectif est d'avoir un état zéro de la diversité floristique pré-restauration afin de pouvoir suivre et quantifier l'évolution des communautés végétales après la restauration.
Sans surprise la zone était majoritairement recouverte par des espèces rudérales, pionnières, dont certaines étaient des Espèces Exotiques Envahissantes (EEE). Mais par endroit il y avait tout de même quelques espèces indigènes caractéristiques de mangrove et de zones humides.
Ci-contre, la Nelitte d'Amérique ou Aeschynomene americana, (Fabaceae).
Inventaire forêt mésophile - Avril à Août 2022
J'ai réalisé un inventaire de la flore vasculaire sur un terrain privé. Le site est une forêt mésophile assez bien préservée de la côte sous-le-vent.
Le propriétaire souhaitait savoir quelles espèces sont présentes sur son site et lesquelles ont des usages (ornementaux, médicinales, comestibles, etc.) pour tenter de les multiplier et de les vendre.
Ce genre d'initiative permet de valoriser la flore indigène de la Guadeloupe et potentiellement de faire reproduire et donc de préserver des espèces parfois rares.
Ci-contre, le bois joli ou Terminalia tetraphylla, (Combretaceae).
Le propriétaire souhaitait savoir quelles espèces sont présentes sur son site et lesquelles ont des usages (ornementaux, médicinales, comestibles, etc.) pour tenter de les multiplier et de les vendre.
Ce genre d'initiative permet de valoriser la flore indigène de la Guadeloupe et potentiellement de faire reproduire et donc de préserver des espèces parfois rares.
Ci-contre, le bois joli ou Terminalia tetraphylla, (Combretaceae).
Inventaire forêt mésophile - Avril à Août 2022
J'ai réalisé un inventaire de la flore vasculaire sur un terrain privé. Le site est une forêt mésophile assez bien préservée de la côte sous-le-vent.
Le propriétaire souhaitait savoir quelles espèces sont présentes sur son site et lesquelles ont des usages (ornementaux, médicinales, comestibles, etc.) pour tenter de les multiplier et de les vendre.
Ce genre d'initiative permet de valoriser la flore indigène de la Guadeloupe et potentiellement de faire reproduire et donc de préserver des espèces parfois rares.
Ci-contre, le bois joli ou Terminalia tetraphylla, (Combretaceae).
Le propriétaire souhaitait savoir quelles espèces sont présentes sur son site et lesquelles ont des usages (ornementaux, médicinales, comestibles, etc.) pour tenter de les multiplier et de les vendre.
Ce genre d'initiative permet de valoriser la flore indigène de la Guadeloupe et potentiellement de faire reproduire et donc de préserver des espèces parfois rares.
Ci-contre, le bois joli ou Terminalia tetraphylla, (Combretaceae).
Inventaires PNG Providence - Décembre 2022
Je réalise une prestation pour le Parc National de la Guadeloupe sur le site de Providence, au niveau de la route de la traversée. Ce site est une ancienne pépinière. De nos jours, on y trouve de nombreuses espèces exotiques (originaires de territoires hors Guadeloupe, souvent en provenance d'Afrique ou d'Asie tropicale).
Parmi elles, certaines peuvent être envahissantes (EEE = Espèces Exotiques Envahissantes : voir le projet EEE dans "Projet en cours > Consultations autre").
Ma mission est donc d'inventorier cette zone pour repérer les éventuelles EEE végétales. De plus, je suis chargé de localiser les zones de régénération naturelle des espèces indigènes (c'est à dire des espèces locales, guadeloupéennes).
Avec ces données, le PNG sera en mesure de mener des actions de restauration sur ce site afin que les communautés végétales de la forêt hygrophile du coeur de parc puissent reprendre leurs droits le plus rapidement possible.
J'ai en plus la chance de travailler avec deux amis sur ce projet ! (Evens, ci-contre, et Toni, la Fanmi!)
Parmi elles, certaines peuvent être envahissantes (EEE = Espèces Exotiques Envahissantes : voir le projet EEE dans "Projet en cours > Consultations autre").
Ma mission est donc d'inventorier cette zone pour repérer les éventuelles EEE végétales. De plus, je suis chargé de localiser les zones de régénération naturelle des espèces indigènes (c'est à dire des espèces locales, guadeloupéennes).
Avec ces données, le PNG sera en mesure de mener des actions de restauration sur ce site afin que les communautés végétales de la forêt hygrophile du coeur de parc puissent reprendre leurs droits le plus rapidement possible.
J'ai en plus la chance de travailler avec deux amis sur ce projet ! (Evens, ci-contre, et Toni, la Fanmi!)
Inventaires PNG Providence - Décembre 2022
Je réalise une prestation pour le Parc National de la Guadeloupe sur le site de Providence, au niveau de la route de la traversée. Ce site est une ancienne pépinière. De nos jours, on y trouve de nombreuses espèces exotiques (originaires de territoires hors Guadeloupe, souvent en provenance d'Afrique ou d'Asie tropicale).
Parmi elles, certaines peuvent être envahissantes (EEE = Espèces Exotiques Envahissantes : voir le projet EEE dans "Projet en cours > Consultations autre").
Ma mission est donc d'inventorier cette zone pour repérer les éventuelles EEE végétales. De plus, je suis chargé de localiser les zones de régénération naturelle des espèces indigènes (c'est à dire des espèces locales, guadeloupéennes).
Avec ces données, le PNG sera en mesure de mener des actions de restauration sur ce site afin que les communautés végétales de la forêt hygrophile du coeur de parc puissent reprendre leurs droits le plus rapidement possible.
J'ai en plus la chance de travailler avec deux amis sur ce projet ! (Evens, ci-contre, et Toni, la Fanmi!)
Parmi elles, certaines peuvent être envahissantes (EEE = Espèces Exotiques Envahissantes : voir le projet EEE dans "Projet en cours > Consultations autre").
Ma mission est donc d'inventorier cette zone pour repérer les éventuelles EEE végétales. De plus, je suis chargé de localiser les zones de régénération naturelle des espèces indigènes (c'est à dire des espèces locales, guadeloupéennes).
Avec ces données, le PNG sera en mesure de mener des actions de restauration sur ce site afin que les communautés végétales de la forêt hygrophile du coeur de parc puissent reprendre leurs droits le plus rapidement possible.
J'ai en plus la chance de travailler avec deux amis sur ce projet ! (Evens, ci-contre, et Toni, la Fanmi!)
Rézilyans 971 - TE ME UM - 2022
Financé par les micro-projets TE ME UM, l'association Rézilyans 971 souhaite réaliser des inventaires participatifs faunes/flore sur son éco-lieu à Sainte-Anne.
Je suis en charge d'effectuer une présentation de la flore de Guadeloupe lors d'une conférence organisée à l'occasion de la Fête de la Nature 2022.
Ensuite, j'accompagnerai des groupes de personnes sur l'éco-lieu afin d'en faire l'inventaire floristique d'une part et d'initier ces personnes au monde de la botanique.
Ci-contre, fleurs du pois mabouya ou Quadrella indica, (Capparaceae).
Je suis en charge d'effectuer une présentation de la flore de Guadeloupe lors d'une conférence organisée à l'occasion de la Fête de la Nature 2022.
Ensuite, j'accompagnerai des groupes de personnes sur l'éco-lieu afin d'en faire l'inventaire floristique d'une part et d'initier ces personnes au monde de la botanique.
Ci-contre, fleurs du pois mabouya ou Quadrella indica, (Capparaceae).
Rézilyans 971 - TE ME UM - 2022
Financé par les micro-projets TE ME UM, l'association Rézilyans 971 souhaite réaliser des inventaires participatifs faunes/flore sur son éco-lieu à Sainte-Anne.
Je suis en charge d'effectuer une présentation de la flore de Guadeloupe lors d'une conférence organisée à l'occasion de la Fête de la Nature 2022.
Ensuite, j'accompagnerai des groupes de personnes sur l'éco-lieu afin d'en faire l'inventaire floristique d'une part et d'initier ces personnes au monde de la botanique.
Ci-contre, fleurs du pois mabouya ou Quadrella indica, (Capparaceae).
Je suis en charge d'effectuer une présentation de la flore de Guadeloupe lors d'une conférence organisée à l'occasion de la Fête de la Nature 2022.
Ensuite, j'accompagnerai des groupes de personnes sur l'éco-lieu afin d'en faire l'inventaire floristique d'une part et d'initier ces personnes au monde de la botanique.
Ci-contre, fleurs du pois mabouya ou Quadrella indica, (Capparaceae).
Projet PNG - 2020 / 2021
"Mise à jour des inventaires de la flore rare, endémique ou menacée guadeloupéenne dans les zones de cœur du Parc National de la Guadeloupe"
Ce projet était financé par le Parc National de la Guadeloupe (convention n°2019-98) et porté par l'association Gwada Botanica pour laquelle j'ai effectué une prestation. Mes rôles étaient d'organiser les sorties terrain, de gérer les données, d'aider à l'identification des espèces, de produire les cartographies et enfin de rédiger les livrables.
L’objectif de ce projet est de mettre à jour les connaissances en termes de répartition et d’état des populations de certaines espèces patrimoniales présentes en cœur de parc national. Pour cela, les efforts se sont concentrés sur 37 taxons endémiques, rares ou menacés présents dans la zone du massif de la Soufrière et des étangs de la côte au vent. Cette zone a été choisie en priorité car elle peut être totalement détruite en cas d’une éruption de la Soufrière. Ce travail permettra donc d’avoir un état des lieux pré-éruption si jamais cet événement se produit. De plus, il s’agit d’une zone du parc très fréquentée. Il y a donc à la fois de forts enjeux de conservation due à la fréquentation constante, mais aussi une opportunité de sensibilisation sur un large public. Un second objectif était d’effectuer un travail associatif collaboratif et de permettre aux membres motivés de l’association d’acquérir de nouvelles connaissances et compétences en botanique.
Quinze inventaires ont été organisés dans la zone d’étude. A ceux-là se sont ajoutés plus de 30 sorties complémentaires, non prévues initialement, mais qui ont permis de ramener de nouvelles données. Des stations intéressantes ont aussi été trouvées hors de la zone d’étude ou en limite de parc.
Au total, 33 espèces cibles ont été trouvées, avec des résultats de prospections différents en fonction des espèces. Certaines ont été trouvées ou retrouvées exactement dans les zones attendues. D’autres ont été trouvées dans de nouvelles stations. Certaines s’avèrent plus rares que prévues ou au contraire plus communes. Enfin, 1 taxon n’a pas pu être identifié avec certitude, et 3 n’ont pas été trouvés. Cela ne signifie pas qu’ils ne sont plus présents. Il s’agit d’espèces rares et discrètes dont l’identification par rapport à des taxons proches est difficile.
Certaines zones du parc s’avèrent être très riches ou d’une importance capitale pour certaines espèces. Par exemple, le Nez Cassé abrite 10 des 37 espèces cibles, soit plus de 25%. Son accès plus difficile que la Soufrière en fait un lieu plus préservé et plus facile à protéger. La crête des Icaques, ou la boucle de la Grande-Découverte sont également très importantes pour des raisons similaires. Le Morne Fougas, situé en limite de parc, abrite lui aussi une grande diversité, préservée des randonneurs.
L’étang Zombi, également en limite de parc, est très important car il est le seul étang à abriter Helanthium zombiense (herbe épée, endémique de Guadeloupe) et Utricularia gibba. C’est également dans les environs de cet étang que la rare Pilea forsythiana a été trouvée.
Ce travail a également permis de répertorier 45 autres espèces de la liste rouge (3 espèces CR, 3 espèces EN, 12 espèces VU, 25 espèces NT (dont 2 protégées), 1 espèce LC protégée, 1 espèce DD anciennement VU dans le Livre Rouge de 2014).
Les prospections se sont concentrées aux abords des traces pour deux raisons. Premièrement car il fallait regarder si les espèces étaient encore là où elles étaient citées dans la bibliographie. Deuxièmement, car il était plus simple pour les bénévoles de compétences botaniques et physiques différentes de se familiariser au travail de prospection et d’inventaire. Il est donc certain qu’un travail ultérieur, en dehors des traces, est nécessaire pour obtenir un état des lieux plus précis.
Pour conclure, le massif de la Soufrière et ses alentours abrite une diversité floristique conséquente et parfois unique pour la Guadeloupe. D’autres prospections sont nécessaires pour mettre en lumière l’entièreté de cette richesse. C’est une zone qu’il est primordiale de protéger et de valoriser pour sensibiliser le plus grand nombre à la biodiversité incroyable qu’abrite notre archipel.
(Ci-contre, le Grand-Etang vu depuis la trace allant vers l'étang As-de-Pique).
Ce projet était financé par le Parc National de la Guadeloupe (convention n°2019-98) et porté par l'association Gwada Botanica pour laquelle j'ai effectué une prestation. Mes rôles étaient d'organiser les sorties terrain, de gérer les données, d'aider à l'identification des espèces, de produire les cartographies et enfin de rédiger les livrables.
L’objectif de ce projet est de mettre à jour les connaissances en termes de répartition et d’état des populations de certaines espèces patrimoniales présentes en cœur de parc national. Pour cela, les efforts se sont concentrés sur 37 taxons endémiques, rares ou menacés présents dans la zone du massif de la Soufrière et des étangs de la côte au vent. Cette zone a été choisie en priorité car elle peut être totalement détruite en cas d’une éruption de la Soufrière. Ce travail permettra donc d’avoir un état des lieux pré-éruption si jamais cet événement se produit. De plus, il s’agit d’une zone du parc très fréquentée. Il y a donc à la fois de forts enjeux de conservation due à la fréquentation constante, mais aussi une opportunité de sensibilisation sur un large public. Un second objectif était d’effectuer un travail associatif collaboratif et de permettre aux membres motivés de l’association d’acquérir de nouvelles connaissances et compétences en botanique.
Quinze inventaires ont été organisés dans la zone d’étude. A ceux-là se sont ajoutés plus de 30 sorties complémentaires, non prévues initialement, mais qui ont permis de ramener de nouvelles données. Des stations intéressantes ont aussi été trouvées hors de la zone d’étude ou en limite de parc.
Au total, 33 espèces cibles ont été trouvées, avec des résultats de prospections différents en fonction des espèces. Certaines ont été trouvées ou retrouvées exactement dans les zones attendues. D’autres ont été trouvées dans de nouvelles stations. Certaines s’avèrent plus rares que prévues ou au contraire plus communes. Enfin, 1 taxon n’a pas pu être identifié avec certitude, et 3 n’ont pas été trouvés. Cela ne signifie pas qu’ils ne sont plus présents. Il s’agit d’espèces rares et discrètes dont l’identification par rapport à des taxons proches est difficile.
Certaines zones du parc s’avèrent être très riches ou d’une importance capitale pour certaines espèces. Par exemple, le Nez Cassé abrite 10 des 37 espèces cibles, soit plus de 25%. Son accès plus difficile que la Soufrière en fait un lieu plus préservé et plus facile à protéger. La crête des Icaques, ou la boucle de la Grande-Découverte sont également très importantes pour des raisons similaires. Le Morne Fougas, situé en limite de parc, abrite lui aussi une grande diversité, préservée des randonneurs.
L’étang Zombi, également en limite de parc, est très important car il est le seul étang à abriter Helanthium zombiense (herbe épée, endémique de Guadeloupe) et Utricularia gibba. C’est également dans les environs de cet étang que la rare Pilea forsythiana a été trouvée.
Ce travail a également permis de répertorier 45 autres espèces de la liste rouge (3 espèces CR, 3 espèces EN, 12 espèces VU, 25 espèces NT (dont 2 protégées), 1 espèce LC protégée, 1 espèce DD anciennement VU dans le Livre Rouge de 2014).
Les prospections se sont concentrées aux abords des traces pour deux raisons. Premièrement car il fallait regarder si les espèces étaient encore là où elles étaient citées dans la bibliographie. Deuxièmement, car il était plus simple pour les bénévoles de compétences botaniques et physiques différentes de se familiariser au travail de prospection et d’inventaire. Il est donc certain qu’un travail ultérieur, en dehors des traces, est nécessaire pour obtenir un état des lieux plus précis.
Pour conclure, le massif de la Soufrière et ses alentours abrite une diversité floristique conséquente et parfois unique pour la Guadeloupe. D’autres prospections sont nécessaires pour mettre en lumière l’entièreté de cette richesse. C’est une zone qu’il est primordiale de protéger et de valoriser pour sensibiliser le plus grand nombre à la biodiversité incroyable qu’abrite notre archipel.
(Ci-contre, le Grand-Etang vu depuis la trace allant vers l'étang As-de-Pique).
Projet PNG - 2020 / 2021
"Mise à jour des inventaires de la flore rare, endémique ou menacée guadeloupéenne dans les zones de cœur du Parc National de la Guadeloupe"
Ce projet était financé par le Parc National de la Guadeloupe (convention n°2019-98) et porté par l'association Gwada Botanica pour laquelle j'ai effectué une prestation. Mes rôles étaient d'organiser les sorties terrain, de gérer les données, d'aider à l'identification des espèces, de produire les cartographies et enfin de rédiger les livrables.
L’objectif de ce projet est de mettre à jour les connaissances en termes de répartition et d’état des populations de certaines espèces patrimoniales présentes en cœur de parc national. Pour cela, les efforts se sont concentrés sur 37 taxons endémiques, rares ou menacés présents dans la zone du massif de la Soufrière et des étangs de la côte au vent. Cette zone a été choisie en priorité car elle peut être totalement détruite en cas d’une éruption de la Soufrière. Ce travail permettra donc d’avoir un état des lieux pré-éruption si jamais cet événement se produit. De plus, il s’agit d’une zone du parc très fréquentée. Il y a donc à la fois de forts enjeux de conservation due à la fréquentation constante, mais aussi une opportunité de sensibilisation sur un large public. Un second objectif était d’effectuer un travail associatif collaboratif et de permettre aux membres motivés de l’association d’acquérir de nouvelles connaissances et compétences en botanique.
Quinze inventaires ont été organisés dans la zone d’étude. A ceux-là se sont ajoutés plus de 30 sorties complémentaires, non prévues initialement, mais qui ont permis de ramener de nouvelles données. Des stations intéressantes ont aussi été trouvées hors de la zone d’étude ou en limite de parc.
Au total, 33 espèces cibles ont été trouvées, avec des résultats de prospections différents en fonction des espèces. Certaines ont été trouvées ou retrouvées exactement dans les zones attendues. D’autres ont été trouvées dans de nouvelles stations. Certaines s’avèrent plus rares que prévues ou au contraire plus communes. Enfin, 1 taxon n’a pas pu être identifié avec certitude, et 3 n’ont pas été trouvés. Cela ne signifie pas qu’ils ne sont plus présents. Il s’agit d’espèces rares et discrètes dont l’identification par rapport à des taxons proches est difficile.
Certaines zones du parc s’avèrent être très riches ou d’une importance capitale pour certaines espèces. Par exemple, le Nez Cassé abrite 10 des 37 espèces cibles, soit plus de 25%. Son accès plus difficile que la Soufrière en fait un lieu plus préservé et plus facile à protéger. La crête des Icaques, ou la boucle de la Grande-Découverte sont également très importantes pour des raisons similaires. Le Morne Fougas, situé en limite de parc, abrite lui aussi une grande diversité, préservée des randonneurs.
L’étang Zombi, également en limite de parc, est très important car il est le seul étang à abriter Helanthium zombiense (herbe épée, endémique de Guadeloupe) et Utricularia gibba. C’est également dans les environs de cet étang que la rare Pilea forsythiana a été trouvée.
Ce travail a également permis de répertorier 45 autres espèces de la liste rouge (3 espèces CR, 3 espèces EN, 12 espèces VU, 25 espèces NT (dont 2 protégées), 1 espèce LC protégée, 1 espèce DD anciennement VU dans le Livre Rouge de 2014).
Les prospections se sont concentrées aux abords des traces pour deux raisons. Premièrement car il fallait regarder si les espèces étaient encore là où elles étaient citées dans la bibliographie. Deuxièmement, car il était plus simple pour les bénévoles de compétences botaniques et physiques différentes de se familiariser au travail de prospection et d’inventaire. Il est donc certain qu’un travail ultérieur, en dehors des traces, est nécessaire pour obtenir un état des lieux plus précis.
Pour conclure, le massif de la Soufrière et ses alentours abrite une diversité floristique conséquente et parfois unique pour la Guadeloupe. D’autres prospections sont nécessaires pour mettre en lumière l’entièreté de cette richesse. C’est une zone qu’il est primordiale de protéger et de valoriser pour sensibiliser le plus grand nombre à la biodiversité incroyable qu’abrite notre archipel.
(Ci-contre, le Grand-Etang vu depuis la trace allant vers l'étang As-de-Pique).
Ce projet était financé par le Parc National de la Guadeloupe (convention n°2019-98) et porté par l'association Gwada Botanica pour laquelle j'ai effectué une prestation. Mes rôles étaient d'organiser les sorties terrain, de gérer les données, d'aider à l'identification des espèces, de produire les cartographies et enfin de rédiger les livrables.
L’objectif de ce projet est de mettre à jour les connaissances en termes de répartition et d’état des populations de certaines espèces patrimoniales présentes en cœur de parc national. Pour cela, les efforts se sont concentrés sur 37 taxons endémiques, rares ou menacés présents dans la zone du massif de la Soufrière et des étangs de la côte au vent. Cette zone a été choisie en priorité car elle peut être totalement détruite en cas d’une éruption de la Soufrière. Ce travail permettra donc d’avoir un état des lieux pré-éruption si jamais cet événement se produit. De plus, il s’agit d’une zone du parc très fréquentée. Il y a donc à la fois de forts enjeux de conservation due à la fréquentation constante, mais aussi une opportunité de sensibilisation sur un large public. Un second objectif était d’effectuer un travail associatif collaboratif et de permettre aux membres motivés de l’association d’acquérir de nouvelles connaissances et compétences en botanique.
Quinze inventaires ont été organisés dans la zone d’étude. A ceux-là se sont ajoutés plus de 30 sorties complémentaires, non prévues initialement, mais qui ont permis de ramener de nouvelles données. Des stations intéressantes ont aussi été trouvées hors de la zone d’étude ou en limite de parc.
Au total, 33 espèces cibles ont été trouvées, avec des résultats de prospections différents en fonction des espèces. Certaines ont été trouvées ou retrouvées exactement dans les zones attendues. D’autres ont été trouvées dans de nouvelles stations. Certaines s’avèrent plus rares que prévues ou au contraire plus communes. Enfin, 1 taxon n’a pas pu être identifié avec certitude, et 3 n’ont pas été trouvés. Cela ne signifie pas qu’ils ne sont plus présents. Il s’agit d’espèces rares et discrètes dont l’identification par rapport à des taxons proches est difficile.
Certaines zones du parc s’avèrent être très riches ou d’une importance capitale pour certaines espèces. Par exemple, le Nez Cassé abrite 10 des 37 espèces cibles, soit plus de 25%. Son accès plus difficile que la Soufrière en fait un lieu plus préservé et plus facile à protéger. La crête des Icaques, ou la boucle de la Grande-Découverte sont également très importantes pour des raisons similaires. Le Morne Fougas, situé en limite de parc, abrite lui aussi une grande diversité, préservée des randonneurs.
L’étang Zombi, également en limite de parc, est très important car il est le seul étang à abriter Helanthium zombiense (herbe épée, endémique de Guadeloupe) et Utricularia gibba. C’est également dans les environs de cet étang que la rare Pilea forsythiana a été trouvée.
Ce travail a également permis de répertorier 45 autres espèces de la liste rouge (3 espèces CR, 3 espèces EN, 12 espèces VU, 25 espèces NT (dont 2 protégées), 1 espèce LC protégée, 1 espèce DD anciennement VU dans le Livre Rouge de 2014).
Les prospections se sont concentrées aux abords des traces pour deux raisons. Premièrement car il fallait regarder si les espèces étaient encore là où elles étaient citées dans la bibliographie. Deuxièmement, car il était plus simple pour les bénévoles de compétences botaniques et physiques différentes de se familiariser au travail de prospection et d’inventaire. Il est donc certain qu’un travail ultérieur, en dehors des traces, est nécessaire pour obtenir un état des lieux plus précis.
Pour conclure, le massif de la Soufrière et ses alentours abrite une diversité floristique conséquente et parfois unique pour la Guadeloupe. D’autres prospections sont nécessaires pour mettre en lumière l’entièreté de cette richesse. C’est une zone qu’il est primordiale de protéger et de valoriser pour sensibiliser le plus grand nombre à la biodiversité incroyable qu’abrite notre archipel.
(Ci-contre, le Grand-Etang vu depuis la trace allant vers l'étang As-de-Pique).
Inventaire EEE - EDF - Juin 2022
Dans le cadre de leur politique environnementale, la centrale EDF de Guadeloupe (à Jarry) souhaitait savoir si des Espèces Exotiques Envahissantes (EEE) se trouvaient sur une frange de mangrove située en bordure du site.
J'ai donc réalisé un inventaire floristique de cette portion de forêt afin d'évaluer les enjeux de préservation liés à la présence de ces potentielles EEE.
Malgré la présence de quelques espèces exotiques, la zone était en grande partie habitée par des espèces indigènes de mangrove ou de forêt sèche. Seule une partie était tout de même bien colonisée par le monval (Leucaena leucocephala, Fabaceae), en photo ci-contre.
J'ai donc réalisé un inventaire floristique de cette portion de forêt afin d'évaluer les enjeux de préservation liés à la présence de ces potentielles EEE.
Malgré la présence de quelques espèces exotiques, la zone était en grande partie habitée par des espèces indigènes de mangrove ou de forêt sèche. Seule une partie était tout de même bien colonisée par le monval (Leucaena leucocephala, Fabaceae), en photo ci-contre.
Inventaire EEE - EDF - Juin 2022
Dans le cadre de leur politique environnementale, la centrale EDF de Guadeloupe (à Jarry) souhaitait savoir si des Espèces Exotiques Envahissantes (EEE) se trouvaient sur une frange de mangrove située en bordure du site.
J'ai donc réalisé un inventaire floristique de cette portion de forêt afin d'évaluer les enjeux de préservation liés à la présence de ces potentielles EEE.
Malgré la présence de quelques espèces exotiques, la zone était en grande partie habitée par des espèces indigènes de mangrove ou de forêt sèche. Seule une partie était tout de même bien colonisée par le monval (Leucaena leucocephala, Fabaceae), en photo ci-contre.
J'ai donc réalisé un inventaire floristique de cette portion de forêt afin d'évaluer les enjeux de préservation liés à la présence de ces potentielles EEE.
Malgré la présence de quelques espèces exotiques, la zone était en grande partie habitée par des espèces indigènes de mangrove ou de forêt sèche. Seule une partie était tout de même bien colonisée par le monval (Leucaena leucocephala, Fabaceae), en photo ci-contre.